Montigny-en-Ostrevent, de mont "petite montagne" et igni "feu", c'est à dire "mont à feu"
Un "mont à feu" aujourd'hui sous la pluie mais d'où Tantôt s'élance pour de nouvelles aventures.
Ce matin, peu après 10 heures, Tantôt est sorti de la maison de retraite Valérie, place du Sana à Montigny-en-Ostrevent. Le tournage a commencé. C'est le début d'un voyage de plusieurs semaines à travers le département du Nord. Tantôt a une mission : tracer une frontière imaginaire. Il a reçu pour cela un improbable traceur, une montre à gousset et une carte à l'encre sympathique.
Au pied de l'ancien château Lambrecht, à Montigny-en-Ostrevent, le monde va. Une vieille dame rentre du supermarché sur son vélo très ancien, un vieil homme claudique en tirant son cabas. Des enfants, pressés par l'heure du repas, promettent de revenir. Christiane qui travaille à la maison de retraite offre le café à tous. Une pensionnaire propose un parapluie à Tantôt. David et Jules des services techniques du Coeur d'Ostrevent de Lewarde installent une estrade, amusés d'avoir à se déplacer et travailler à la vitesse de Tantôt. Les passants s'arrêtent. S'interrogent. Parlent de leur ville, un peu de leur vie, entrent dans le Tati Roulant, un cinéma mobile qui diffuse les aventures précédentes de Tantôt. Les pensionnaires de la maison de retraite qui pensaient partir en voyage, sont intrigués par ce bus qui propose des voyages immobiles. Elles pensaient partir pour Douai au restaurant. Peu à peu, malgré les averses et un petit vent un peu mordant, les curieux se font nombreux, les arrêts se prolongent, beaucoup promettent de venir demain, à la projection qui aura lieu à 18 h 30 dans la bibliothèque. "C'est magnifique", dit une dame venue avec l'association Culture et Liberté de Lewarde. " Ah bon, c'est comme ça que ça marche le cinéma ? " dit une adolescente intriguée. "Il faudrait lui mettre un pantalon à Tantôt" dit une autre, il va avoir froid. Mireille quant à elle, tient à tout prix à l'embrasser.
Tout autour l'équipe travaille, cadre, déplace, articule Tantôt, prend du son, répond aux questions des journalistes et des passants. "Si Tantôt prend son temps, c'est parce qu'on lui en donne". Rita du service culture de la communauté de communes Coeur d'Ostrevent ou François de l'Agence technique départementale en savent quelque chose comme toutes celles et tous ceux qui participent ou participeront pendant près de deux mois aux aventures de Tantôt le long de la frontière franco belge.
Un "mont à feu" aujourd'hui sous la pluie mais d'où Tantôt s'élance pour de nouvelles aventures.
Ce matin, peu après 10 heures, Tantôt est sorti de la maison de retraite Valérie, place du Sana à Montigny-en-Ostrevent. Le tournage a commencé. C'est le début d'un voyage de plusieurs semaines à travers le département du Nord. Tantôt a une mission : tracer une frontière imaginaire. Il a reçu pour cela un improbable traceur, une montre à gousset et une carte à l'encre sympathique.
Au pied de l'ancien château Lambrecht, à Montigny-en-Ostrevent, le monde va. Une vieille dame rentre du supermarché sur son vélo très ancien, un vieil homme claudique en tirant son cabas. Des enfants, pressés par l'heure du repas, promettent de revenir. Christiane qui travaille à la maison de retraite offre le café à tous. Une pensionnaire propose un parapluie à Tantôt. David et Jules des services techniques du Coeur d'Ostrevent de Lewarde installent une estrade, amusés d'avoir à se déplacer et travailler à la vitesse de Tantôt. Les passants s'arrêtent. S'interrogent. Parlent de leur ville, un peu de leur vie, entrent dans le Tati Roulant, un cinéma mobile qui diffuse les aventures précédentes de Tantôt. Les pensionnaires de la maison de retraite qui pensaient partir en voyage, sont intrigués par ce bus qui propose des voyages immobiles. Elles pensaient partir pour Douai au restaurant. Peu à peu, malgré les averses et un petit vent un peu mordant, les curieux se font nombreux, les arrêts se prolongent, beaucoup promettent de venir demain, à la projection qui aura lieu à 18 h 30 dans la bibliothèque. "C'est magnifique", dit une dame venue avec l'association Culture et Liberté de Lewarde. " Ah bon, c'est comme ça que ça marche le cinéma ? " dit une adolescente intriguée. "Il faudrait lui mettre un pantalon à Tantôt" dit une autre, il va avoir froid. Mireille quant à elle, tient à tout prix à l'embrasser.
Tout autour l'équipe travaille, cadre, déplace, articule Tantôt, prend du son, répond aux questions des journalistes et des passants. "Si Tantôt prend son temps, c'est parce qu'on lui en donne". Rita du service culture de la communauté de communes Coeur d'Ostrevent ou François de l'Agence technique départementale en savent quelque chose comme toutes celles et tous ceux qui participent ou participeront pendant près de deux mois aux aventures de Tantôt le long de la frontière franco belge.